Blackpills vs Whitepills

Le concept récent qui m’a été donné est violent. Le concept de Blackpills résumé dans l’article de la Métaphore de Matrix est plutôt bien résumé.

Il y a derrière cela, une entreprise de se saisir d’un pouvoir perdu et d’une vision aussi basse et sombre qu’un barbare.

La Blackpills est il un retour des valeurs barbares tournés vers la violence ? Un barbare sans civilisation le rendant capable de se saisir de ses faiblesses par l’intellect, et de sortir de cet état le poussant à ce genre de hobbits meurtriers.

Certains prennent cela a la lettre, car les mots agissent comme des commandes sur un robots. Il faut vraiment comprendre cela. Il n’y a pas de filtre.

« The Black Pill philosophy typically offers only two options for what to do with their new accepted reality: accept their fate as an incel or try to change society to their benefit—usually advocated as potentially achievable by means of mass violence and terror, not politics or other methods of change. »

Accepter donc d’etre un timide, presque un inférieur soumis et asservis par cette société féminine, et qui lui prends tout jusque sa masculinité… lui qui est un homme, un vrai, qui a des bollocks de bonhomme et qui doit se saisir de ce désastre… de ce naufrage.

Et ce remède est ? La manipulation pour commencer, puis le sexe (le sexe est une pratique magique du corps pouvant aussi toucher l’esprit), et la torture (la douleur créé obéissance, désirs puis plaisirs d’infliger ou de subir aussi bien psychologiquement, émotionnellement que physiquement), la soumission mais aussi la mort dans l’extrême. Pour les hommes, car la femme en être social et communautaire (la famille) est l’antithèse de l’homme qui est un être égoïste et seul… irresponsable et détaché. La société féminine veut le rendre responsable et le faire homme (la pension alimentaire et tout le reste sont pour le mettre devant ses responsabilité et conséquences). C’est plus un gamin !

Et beaucoup est là. Personne n’est aussi parfaite que mon ex qui, presque homme, veut tout assumer et ne rien vouloir de moi. C’est une chance d’avoir un ex aussi indépendante et masculine.

Il y a un parcours psychologique derrière. Ce n’est pas des cas simples.

L’article continue :

« For those who choose to accept their blackpilled fate, suicide is often presented as the most inevitable solution; it is also encouraged in misogynist incel communities, as a form of sacrificial violence and/or martyrdom. »

Misogynist Incels and Male Supremacism

In this policy brief, we explore the history of incel identity and the development of a new misogynist ideology since 2014.

https://www.newamerica.org/political-reform/reports/misogynist-incels-and-male-supremacism/red-pill-to-black-pill/

Les hommes se la racontent beaucoup comme des enfants… « ah si j‘étais »… cela tout le monde le fait. Il faut aussi savoir rester enfant. Mais les enafnts ne font pas de choix ni de serments ou de promesses, or l’incels victimes de ces prédateurs du net (car ils ne chassent presque uniquement sur internet, comme un repérage… les gens parlent d’eux et montrent leurs enfants… pas besoin de big brother, ils le font très bien eux même) cherchent à briser ces vœux.

Moi, ils pensait que c’était l’amour… comme si l’amour était le but de mon karma. C’est pour cela qu’il ne faut pas hésiter à raconter ce que l’on veut, car ce sera repris. Et si vu, alors ca deviendra intéressant, car ces gens aiment faire des références pour taper juste s’ils sont proches de vous, à vous entourer… références faites pour raisonner en vous. Si ces références n’ont aucun sens pour les autres, elles en ont pour vous. C’est comme ça qu’ils opèrent au grand jours.

C’est comme ça que l’incels qui a choisi de rester incels et de servir cette société féminine qui le détruit, peut être poussé au suicide ou servir d’amusement sur une de ces chaises de torture, voir d’être invité dans un restaurant privé pour finir par être la viande qui sera servis.

La Whitepills inventé aujourd’hui, il y a quelques heures, en serait l’antithèse… un concept qui mérite d’être développé.

Mais derrière la Blackpills se cache un suprématisme abouti et un agenda de haine, de sélection des gens par tout les moyens au bénéfice seul d’une caste.